Alors que certains usent et abusent des nouveaux usages permis par le développement du digital et ses outils, on voit émerger en parallèle la tendance « slow life » ou comment se recentrer sur l’essentiel : soi, la nature, ses proches, les plaisirs simples.
La montée du digital, ou digitalisation de la société, ont en effet révélé des dérives. Que ce soit dans la sphère privée ou professionnelle, l’ultra-connectivité a asservit les utilisateurs. Nous devons désormais être joignables à tous moments. De nouvelles maladies professionnelles ont vu le jour, tel le fameux burn out, entraînant notamment le débat sur le droit à la déconnexion…
Le digital reste néanmoins un outil au service des hommes, s’il est utilisé à bon escient. Loin d’être destructeur, comme on le diabolise parfois, il peut réunir les gens, permettre les échanges, la rencontre, nourrir la curiosité, donner accès à l’information et à la culture, faciliter la vie de tous les jours… Il peut constituer un véritable loisir, source d’évasion pour l’esprit.
Travaillant moi-même dans le domaine du digital, j’ai remarqué épisodiquement une envie chez moi de prendre le large… Voici donc mes quelques astuces « slow life » afin de préserver un équilibre entre utilisation du digital et déconnexion :
- Après le travail, prendre le temps de marcher un peu dans la rue, admirer le monde qui s’anime autour de soi
- Ne pas lire ses mails pro à la maison / Ne pas lier sa boîte mail pro à son téléphone personnel
- Ne pas se forcer à décrocher le téléphone quand on en a pas l’envie
- Prendre le temps de se réveiller, de petit-déjeuner, avant tous contact avec « le monde extérieur » (radio, téléphone, télé, réseaux sociaux… à proscrire le matin)
- Ne pas se priver non plus si on souhaite geeker tout le dimanche !!! 😉
Et vous, vous êtes plutôt hyper-connecté(e) ou slow lifeur(euse) avéré(e) ?
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